Quelle différence entre union libre et concubinage ?

La Concubinate est définie par la loi du 15 novembre 1999 comme « une union de fait caractérisée par une vie commune avec un caractère de stabilité et de continuité entre deux personnes de sexe ou de sexe différent vivant en couple ». Leurs effets sont multiples.

Les caractéristiques de la vie commune

Les deux conditions pour la mise en place de la concubination sont les suivantes :

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  • L’ existence d’une communauté,
  • Relations stables et continues

Contrairement au mariage et au PACS, la coexistence est caractérisée par la liberté et l’autonomie en termes de droits et d’obligations qui lient les Cohabits.

En effet, la participation n’est pas juridiquement liée par le devoir de loyauté, la solidarité de la dette entre eux, la contribution aux dépenses du budget, l’obligation de faciliter ou de soutenir (aucune obligation, pour faire une pension alimentaire au partenaire dans le besoin).

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Le principe principal de coexistence du bien est la simplicité de son régime patrimonial : l’indivision (chaque associé possède la moitié de la propriété cofinancée) et la flexibilité des droits et obligations des concubines.

Cependant, du point de vue de l’héritage, il n’y a pas de droit héréditaire entre concubines.

Coexistence et impôts

Impôt

Contrairement aux personnes mariées ou analysées, l’union de common law suppose que chaque partenaire gagnera une déclaration distincte sur les revenus perçus au cours de l’année d’imposition. Aux fins de l’impôt sur le revenu, il n’existe donc pas de résidence fiscale « commune » pour les Copubins.

Si le couple a des enfants, chaque enfant ne peut être compté que par l’un des deux parents concubin.

un parent qui renonce à la dépendance fiscale de l’enfant peut Fournir une allocation alimentaire déductible du revenu imposable mais imposable pour le conjoint avec l’enfant à charge (l’enfant à charge).

IFI

En ce qui concerne les IFI, les personnes vivant dans une coexistence notoire sont assujetties à une fiscalité commune, mais elles ne sont pas plus qu’une avec le paiement de l’IFI.

Dans ce cas, une seule des deux coicubines devra remplir sa déclaration de l’actif net imposable du couple et de ses enfants mineurs.

Impôt sur les successions

Comme il n’est pas l’héritier, il est préférable de faire un testament devant un notaire pour accorder des droits au partenaire survivant, mais ce dernier est considéré comme un tiers, il devra donc payer 60% d’impôt sur les successions sur les biens reçus de son partenaire décédé.

La propriété d’un bien en cas de cohabitation dépend de divers facteurs, tels que le moment ou la nature du adhésion. Il est important de distinguer si elle est propre propriété ou fréquente.

Propriété immobilière

Dans le cadre de la cohabitation, il ne peut y avoir de communauté de propriété, la propriété demeure la propriété de chaque partenaire.

Cependant, une certaine propriété est soumise au régime Indivision, en particulier si le bien a été financé conjointement par les deux habitudes communes et pour lequel la propriété exclusive d’un partenaire ne peut être prouvée.

Plusieurs techniques permettent aux concubines d’acquérir une copropriété.

  • Les concubines indivis ont les mêmes droits sur la propriété (accord des deux pour la location ou la vente de la propriété)
  • Mise en place d’un SCI,
  • Le Tontin,
  • Achat croisé en cas de démembrement d’un bien immobilier : chaque partenaire acquiert la moitié de l’usipper et la moitié de la simple propriété de la propriété. Après la mort du premier partenaire, le Survivant propriétaires à part entière de la moitié et reste usufruit de l’autre. La moitié des biens exposés revient aux héritiers. Ces derniers acquièrent la pleine propriété de l’ensemble de la propriété après le décès du second associé.

Vivre des concubines

La location

Il y a deux situations qui doivent être distinguées :

  • Si les deux concubines sont copropriétaires du bail, le droit au bail est indivis entre elles. Chacun est tenu de payer les frais et les loyers jusqu’à la fin du bail,
  • En cas de décès ou d’abandon, et si une seule des habitudes de participation détient le bail, le partenaire « notoire » acquiert le droit de poursuivre le bail, à condition qu’il ait vécu avec lui pendant au moins un an le jour du décès ou de l’abandon. « Notorious » se réfère à une relation qui ressemble à un mariage aux yeux de chacun.

Le sort de l’immeuble résidentiel à cent pour cent d’une vie commune

Un partenaire non propriétaire n’a pas le droit de séjourner dans l’appartement, car il n’y a pas de bail entre eux. En cas de panne, son partenaire propriétaire peut décider de quitter immédiatement les locaux. En cas de décès du propriétaire, le partenaire survivant ne peut occuper l’appartement qu’avec le consentement des héritiers.

Le destin de l’espace de vie dans les indivisions entre concubines

S’il appartient aux deux concubines, l’appartement est soumis au régime des indivisions. Vous devez accepter de louer, de vendre ou de le donner. Dans le cas de la vente ou de la location, les loyers sont répartis entre les alliances proportionnellement à la participation à l’achat de l’appartement.

La fin de la cohabitation

La rupture de la libre union est caractérisée par une grande liberté, elle peut intervenir à tout moment, sans motif et sans formalisme. Elle n’est pas assujettie à la Évaluation du juge de la famille. Cependant, ce dernier peut intervenir s’il y a un enfant qui arrêtera la pension alimentaire et le droit de regarder.

Dans le cas d’une relation indivise, lorsque l’union de common law s’effondre, les concubines partagent les biens indivis à l’amiable ou devant les tribunaux.

Le cas d’un enrichissement sans cause

Dans le cas où l’héritage de l’une des concubines a été enrichi au détriment de l’autre sans être le résultat d’un accord, d’une libéralisation ou d’une disposition juridique ou administrative, une mesure d’enrichissement injuste peut être admise.

L’ ancien partenaire a droit à une compensation financière fondée sur un enrichissement injustifié, à condition que l’autre partenaire ait été enrichi à son détriment sans justifier un tel État.

Quelques exemples d’enrichissement sans cause :

  • La contribution financière d’un partenaire dépasse la contribution normale au coût quotidien de la vie (financement de la rénovation d’une maison pour l’autre),
  • la cohabitation abandonnée de toute possibilité d’emploi à consacrer à la maison ou à l’activité professionnelle de l’autre partenaire, sans compensation financière ;
  • Un cohabitant construisit une maison à ses propres frais sur le terrain de l’autre. Ce dernier devient propriétaire de la construction sur son terrain pour le paiement de la valeur ajoutée qu’elle apporte à son terrain ou pour le remboursement des frais de construction.

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